Le week-end du 6 et 7 Avril aura lieu au parc des expositions de Pau la 6ème convention du tatouage. Cette année, c’est encore plus de 160 artistes qui seront présents pour le plus grand bonheur des amateurs et des curieux ! Et cette année, je vais repasser sous les aiguilles pour un autre petit tattoo et je me suis dis que c’était l’occasion de te parler de mes astuces « presque » zéro déchet pour bien le faire cicatriser.
Tout d’abord, sois bien conscient qu’un tatouage n’est pas du tout zéro déchet ! Entre les aiguilles et leurs emballages, les contenants à usage unique, les feuilles d’essuie-tout et tout le tintouin : on est bien loin de la poubelle vide. Seulement voilà, on ne déconne pas avec tout ça ! Un tatouage se rapproche d’un acte médical et toutes les précautions doivent être prises. On est bien d’accord que là meilleure façon de ne pas produire de déchets serait de ne pas se faire tatouer mais c’est un choix personnel. Par contre, pour les soins post-tatouage, tu peux choisir des méthodes un peu plus green que le tube d’homéoplas-prout…
Un tatouage tout neuf est une plaie qui a besoin d’être nettoyée et hydratée pour obtenir une cicatrisation optimale. Pour éviter les emballages plastiques et les compositions un peu cracra, j’utilise un pain de savon hypoallergenique au ph neutre acheté en parapharmacie et de l’huile de coco achetée en magasin bio. Je me procure un savon et un bocal d’huile de coco neufs à chaque tatouage pour éviter les risques d’infection. Une fois mon tatouage cicatrisé, nous utilisons le savon pour nous laver le corps et l’huile de coco pour nous hydrater ou en cuisine.
Bien évidement, parles-en avant à ton tatoueur et écoute bien ses conseils si tu veux avoir le meilleur résultat possible 🙂